Mes modèles préférés de lave-vaisselles en 2025, après des semaines à salir de la vaisselle pour vrai

T’as pas le temps de souffler entre le retour du boulot, le souper, les lunchs et la vaisselle? Bienvenue dans le club.

Quand la fatigue te pogne avant même de ranger les chaudrons, c’est peut-être le bon moment pour revoir ton équipement. Pas besoin d’un miracle : juste d’un appareil qui travaille pendant que tu relaxes un peu. Ou que tu replies du linge propre en pensant à demain.

Un lave-vaisselle, c’est pas juste pratique. C’est essentiel. Parce que cuisiner, on aime ça. Recevoir, encore plus. Mais gratter de la sauce séchée sur 12 assiettes après un bon repas? Moins le fun.

Aujourd’hui, les modèles sont pas mal plus futés qu’avant. Certains sont encastrables, d’autres portatifs. Il y en a qui se connectent même à ton Wi-Fi, comme si ta vaisselle avait besoin d’un mot de passe. Les cycles se multiplient, les options aussi. Pas évident de s’y retrouver dans tout ça.

C’est pourquoi j’ai fait le tri pour toi avec les meilleurs modèles du moment, testés et approuvés! 👇

Tu cherches le meilleur lave-vaisselle du moment? Je te recommande le Maytag MDB4949SKW

Il lave bien. Il lave fort. Il lave longtemps. Le Maytag MDB4949SKW, c’est le tank des lave-vaisselles. Il ne te crie pas dans les oreilles (50 dB, c’est presque zen), il avale la vaisselle sale sans poser de question, et il en ressort du propre.

Ce que j’en pense

C’est un lave-vaisselle qui travaille fort, mais qui prend son temps. Le cycle “normal” dure 3 h 18. Trois heures et quart à faire le ménage pendant que toi t’as fini souper, rangé la cuisine et probablement pris ta douche. Y’a un mode “quick” de 1 h 30, mais oublie ça si tu veux de la vaisselle sèche. Même avec le mode “Heated Dry”, mes verres sortaient encore humides comme un plancher de salle de bain après trois ados.

Côté bruit, rien à dire. À 50 dB, j’ai pu jaser avec ma blonde, écouter mon film et même entendre mon chat miauler pendant que ça lavait. Pour vrai, ce point-là m’a conquis. Un lave-vaisselle qui te laisse entendre ta série, c’est pas rien.

L’espace intérieur est bien pensé. Les deux paniers ont presque la même hauteur, ce qui permet de mettre des verres hauts en haut, et des chaudrons en bas. Pas de troisième panier gadget, mais honnêtement, je m’en moque. Ce qu’il y a, c’est fonctionnel.

J’ai aimé le bac à ustensiles avec des fentes individuelles. Une petite idée brillante qui évite les fourchettes qui s’emboîtent et sortent sales comme elles sont rentrées.

Parlons du look. Finition blanche, sobre, résistante aux traces de doigts. Pratique quand t’as deux enfants qui ouvrent la porte 12 fois par jour pour voir si c’est fini. Et là, surprise agréable : y’a un indicateur qui affiche “CLEAN” une fois le cycle terminé. Mes enfants ont compris vite : “Ah, c’est écrit CLEAN, faut ranger.” Si j’avais su que c’était ça qu’il leur fallait…

La hauteur est un point à noter. Il est plus bas que la moyenne. À 34 pouces (86 cm), tu vas devoir te pencher davantage. Moi, ça passe. Mais mon père, qui mesure 6 pi 3 (1,91 m), m’a vite fait remarquer le changement.

C’est pas une bête parfaite. Mais une bête très polyvalente et honnête.

Est-ce que le Maytag MDB4949SKW est fait pour toi?

✅Achète si…

• T’as une cuisine ouverte et deux oreilles sensibles. À 50 dB, ce lave-vaisselle est plus discret qu’un ado qui cache ses notes.
• Tu veux charger une tonne de vaisselle sans jouer à Tetris. Les racks sont grands, haut en haut, large en bas, y’a de la place pour les gros plats.
• Tu refuses de pré-laver. Le mode PowerBlast et le broyeur intégré se débrouillent avec pas mal tout, sauf peut-être une lasagne de trois jours.
• Tu veux voir “CLEAN” écrit noir sur blanc sans deviner si le cycle est fini avec une lumière rouge. Même les enfants le comprennent.

❌N’achète pas si…

• T’as pas trois heures à perdre. Le cycle “normal” prend 3 h 18. Si t’es pressé, tu vas te frustrer.
• Tu veux de la vaisselle sèche en 90 minutes. Même avec le mode “Heated Dry”, les résultats sont… disons humides.
• T’as un dos fragile. Il est bas (86 cm / 34 po). Faudra te plier un peu plus que pour les autres à chaque cycle.

Mon verdict

Il lave comme un chef, mais prend son après-midi pour le faire. À 50 dB, tu l’entends pas, le mode PowerBlast décolle la crasse, l’inox garde ça propre. Que demander de plus?

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Caractéristiques principales du Maytag MDB4949SKW

• Niveau sonore de 50 dB : Tu peux jaser, écouter la météo ou même chicaner le chien pendant qu’il lave. Il ne bronche pas. Un vrai ninja.
• Cuve en acier inoxydable pleine grandeur : Pas de plastique cheap à l’intérieur. Juste du solide. Plus facile à nettoyer, plus résistant aux odeurs. Tu vas le sentir, littéralement.
• Dimensions : 86 x 61 x 62 cm (34 x 24 x 24,5 po) : C’est pas une bibitte immense, mais il est plus bas que la moyenne. Si t’as le dos fragile, pense-y deux fois.
• Capacité : 14 couverts standards : T’en rentres du stock là-dedans. Même ton plat à tourtière a de la place. Presque.
• Poids : 60 kg (132 lb) : Pas un poids plume. Prévois une deuxième paire de bras ou un bon chariot.
• Broyeur à quatre lames intégré : Pas de filtre à vider tous les deux jours. Il mâche les restants comme un composteur enragé.
• Cycle PowerBlast : Celui-là, il fait pas semblant. C’est pour les chaudrons cramés, les fonds de soupe oubliés et les assiettes du lendemain.
• Mode rapide : 1 h 30 : Rapide, oui. Sec, non. Faut pas rêver.
• Cycle normal : 3 h 18 : Long comme un téléroman. Mais ça lave pour vrai. À fond.
• Indicateur lumineux “CLEAN” : Simple. Efficace. Même les enfants pigent.
• Panier à ustensiles à fentes individuelles : Fini les fourchettes qui s’embrassent en douce. Chacun sa place, chacun son lavage.
• Finition extérieure blanche résistante aux traces : Ton frigo va être jaloux. Et tes enfants vont vouloir ouvrir la porte juste pour toucher.
• Garantie limitée de 10 ans sur les pièces du système de lavage : Tu dors mieux avec ça. Ou du moins, tu te fâches moins si ça brise.

Une alternative avec un excellent rapport qualité/prix : Maytag MDB8959SKZ

Un troisième panier. Oui, un troisième. Et pas juste pour les couteaux à beurre. Ce Maytag encastré fait de la place pour tout. Avec ses 15 couverts, sa cuve en inox et son moteur silencieux à 47 dB, il travaille pendant que tu regardes ton émission sans monter le son. Sérieux, tu pourrais presque l’oublier. Jusqu’à ce que tu ouvres la porte et que tes plats brillent plus que ton évier.

Ce que j’en pense

Je pensais que les lave-vaisselle, c’était devenu tous pareils. Bruyants, capricieux, et toujours un bol mal rincé dans le coin. Jusqu’à ce que je tombe sur ce Maytag MDB8959SKZ. On parle d’un modèle encastré de 24 po (60,6 cm), avec une cuve en acier inoxydable qui respire la solidité. Capacité : 15 couverts. Oui, 15. J’ai pu empiler tout le service du souper de famille, plus les tasses oubliées du brunch. Ça rentre, et ça ressort propre.

Silence radio. 47 décibels. C’est pas un chiffre sexy, mais dans une cuisine à aire ouverte, ça fait une maudite différence. Pendant les tests, j’ai dû coller mon oreille sur la porte. Ma femme pensait qu’il était brisé. Il tournait. Juste discret.

Le cycle POWERBLAST, c’est pas juste un nom de film d’action. Ce mode combine des jets haute pression, de l’eau chauffée et de la vapeur. Résultat ? Un plat de lasagne que j’ai “oublié” trois jours sur le comptoir est ressorti comme neuf. Et sans pré-rinçage. Température maximale : 60 °C (140 °F). Pas besoin de frotter, le Maytag s’en occupe.

La filtration est intelligente. Un système à deux niveaux avec un microfiltre et un hachoir à quatre lames en inox. Fini les restes de patates qui tournent dans le fond. Même après plusieurs lavages consécutifs, pas d’odeur, pas de résidu. L’eau sale? Éliminée. Et vite.

Le troisième panier. Parlons-en. J’étais sceptique. Je pensais que c’était du marketing pour nous faire payer plus. Mais après avoir calé tous mes couvercles de plats, les ustensiles longs et les tasses à espresso dessus, j’ai changé d’idée. Ça libère le bas, ça évite les collisions entre verres et bols.

Un détail bête, mais pratique : la poignée est encastrée. Pas de risque d’accrocher un pantalon ou de voir les enfants s’amuser à l’ouvrir pour rien. Et l’extérieur inox est anti-empreintes. Ça ne semble pas grand-chose… jusqu’à ce que tu voies ta cuisine en plein soleil.

Seul bémol : le cycle est long. Même le mode « normal » prend son temps. Environ deux heures et demie. T’as le temps d’écouter un film, de prendre une bière et de jouer une game de Uno.

Est-ce que le Maytag MDB8959SKZ est fait pour toi?

✅Achète si…

• T’as un ado qui empile les bols sans les rincer. Le POWERBLAST s’en fout. Il lave pareil.
• Le bruit d’un vieux lave-vaisselle te tape sur les nerfs. Celui-là fait 47 dB, soit moins qu’un frigo qui ronfle.
• Tu veux un appareil qui avale 15 couverts sans râler. Même après le party de Noël.
• T’aimes pas laver à la main tes couteaux de chef. La troisième tablette est faite pour eux.
• Tu veux que ça reste propre, même dehors. L’acier inoxydable anti-empreintes sauve du temps et des torchons.

❌N’achète pas si…

• T’as besoin d’un cycle express avant que tes invités arrivent. Même le plus court prend son temps.
• Tu veux sécher tes plastiques à 100 %. Y’en a toujours un qui ressort humide.

Mon verdict

C’est pas le plus rapide, mais c’est un tank. Il lave fort, il lave bien, il lave en silence. POWERBLAST te sauve du pré-rinçage. Le troisième panier? J’en veux un dans chaque électro. 47 dB, c’est la paix. Solide, spacieux, pas capricieux. Il en fait plus que sa job.

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Caractéristiques principales du Maytag MDB8959SKZ

• Capacité totale : 15 couverts. Tasse à espresso incluse. Et la spatule en plastique que personne ne sait où mettre? Elle rentre aussi.
• Troisième panier avec action de lavage dédiée. Pas juste un plateau symbolique. Un vrai étage qui bosse.
• Niveau sonore : 47 dB. Tu peux faire une sieste à côté. Ou enregistrer ton podcast. Sans que le lave-vaisselle devienne un personnage principal.
• Dimensions : 60,6 cm (23,88 po) de large × 87,6 cm (34,5 po) de haut × 62,8 cm (24,75 po) de profondeur. Il prend sa place, mais il la mérite.
• Cuve intérieure en acier inoxydable. Résiste aux cycles brûlants, à la graisse collée, au temps qui passe.
• Fini extérieur anti-empreintes. Parce que les doigts sales, c’est inévitable. Mais pas obligés de le montrer.
• Cycle POWERBLAST. Jets haute pression, vapeur chaude, température de combat : les restes de macaroni gratiné n’ont aucune chance.
• Système Dual Power Filtration. Microfiltration + broyeur en acier inox à 4 lames. Les morceaux de brocoli? Éliminés avant qu’ils pensent à se recoller ailleurs.
• Ventilation intégrée pour le séchage. Fini les flaques d’eau tiède sous les bols. Bon, sauf parfois sur la tablette du haut si tu l’inclines pas.
• Panneau de contrôle dissimulé. Minimaliste, élégant, mais faut ouvrir la porte pour savoir ce qui se passe.
• Poignée encastrée. Aucun risque d’accrocher ton jeans ou que le petit dernier l’ouvre pour “voir si c’est propre”.
• Cycles variés (auto, normal, rapide, intensif, rinçage seulement). Mais pas de raccourcis magiques : le lavage prend son temps.

Tu veux un lavage 5 étoiles, peu importe le prix : essaye le Bosch SHP65CM5N, c’est une merveille!

Un lave-vaisselle qui ouvre la porte tout seul. Non, ce n’est pas un gag. Le Bosch SHP65CM5N s’ouvre à la fin du cycle pour mieux sécher, comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. 16 couverts, 44 décibels (ça chuchote plus que ça lave) et une troisième tablette pour les bidules plats. Du silence, de la place, puis un petit ding sur ton téléphone : c’est fini, tu peux ranger.

Ce que j’en pense

C’est quand le lave-vaisselle est plus intelligent que toi que tu commences à douter de tes choix de vie. Le Bosch SHP65CM5N, série 500, m’a littéralement donné une leçon de vaisselle. Sérieusement. Il lave mieux que moi, en silence, et m’avertit sur mon téléphone quand il a fini. Un peu comme si ta vaisselle te ghostait, mais en propre.

44 décibels. J’ai mis l’oreille contre la porte. Rien. Juste un petit clic discret quand il termine. 60,9 cm (24 po) de large, 86 cm (33,9 po) de haut, 60,3 cm (23,75 po) de profond. Ça s’installe sans trop jurer, même dans une cuisine de triplex centenaire à Montréal.

Le troisième panier est un game changer. On dirait pas, mais cette mince tablette accueille tous les ustensiles longs, petites louches, râpes, et même le fouet que je pensais devoir laver à la main. Plus besoin du gros panier à coutellerie, qui prenait la moitié du bas.

Il peut laver 16 couverts en une seule shot. Et j’ai testé. Souper spaghetti avec six amis, trois plats de service, deux casseroles, une sauteuse, des verres à vin, une passoire et une quantité indécente de fourchettes. Tout est rentré. Tout est ressorti. Propre. Même le fond du chaudron à mac & cheese. Sans rincer avant.

Et puis y’a eu cette fois où j’ai oublié que ça fonctionnait sans élément chauffant. J’ai mis un gros plat de plastique dans le bas, un peu pour tester, un peu pour provoquer. Pas fondu. Pas gondolé. Juste sec et prêt à ranger. Le séchage par AutoAir, avec la porte qui s’ouvre toute seule, c’est moins spectaculaire que ça en a l’air, mais ça fonctionne. Faut juste s’y faire, visuellement, à la porte entrouverte.

Le seul moment où j’ai grogné, c’est le réglage de la hauteur du panier du milieu. Les boutons sont pas très intuitifs. Mais après un peu de gossage, j’ai fini par comprendre. J’avais besoin de place pour un wok. Juge-moi pas.

Est-ce que ça vaut presque 1500$? C’est pas donné, non. Mais je vais te le dire comme ça : j’ai dormi pendant qu’il faisait la vaisselle. Et quand je me suis réveillé, tout brillait.

Est-ce que le Bosch SHP65CM5N est fait pour toi?

✅Achète si…

• T’es tanné de rincer tes plats à la main. Même les restants de mac & cheese séchés disparaissent sans frotter.
• Tu veux de la paix en lavant ta vaisselle. 44 décibels. Ton frigo fait plus de bruit.
• Ton comptoir est précieux. La porte s’ouvre toute seule à la fin. Pas besoin de chauffer, ventiler ou sacrifier une demi-étagère.
• T’as un faible pour la techno. Connecté à ton cell, envoie une notification quand c’est fini. Et non, c’est pas juste un gadget.
• T’en as marre du jeu de Tetris chaque soir. 3 paniers, 16 couverts, des tiges flexibles. Tu veux mettre une poêle et un wok? Go.

❌N’achète pas si…

• T’as zéro patience pour comprendre une appli ou des réglages de paniers. Tu risques de sacrer deux-trois fois au début.
• Tu refuses d’utiliser du JetDry ou tout autre agent de rinçage. Tes plastiques vont rester mouillés.
• Tu veux juste “quelque chose qui fait le job” pour pas cher. Ce Bosch-là n’est pas une aubaine.
• Tu détestes voir une porte entrouverte après un cycle. L’AutoAir, c’est efficace… mais visuellement, faut s’habituer.

Mon verdict

Il lave comme un chef, sans faire de bruit. Même les restes croûtés sur les chaudrons. Silencieux (44 dB), connecté, bien pensé, AutoAir, paniers ajustables, 16 couverts : il fait le ménage pendant que tu relaxes. Pas donné, mais franchement satisfaisant.

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Caractéristiques principales du Bosch SHP65CM5N

• Capacité totale : 16 couverts. Oui, seize. Assez pour un souper de famille, une raclette d’amis, ou juste paqueter ta vaisselle de la semaine.
• Niveau sonore : 44 dB. Moins bruyant qu’un chat qui ronronne. Tu peux le partir pendant ton film sans réveiller personne.
• Dimensions : 60,9 cm (24 po) de large × 86 cm (33,9 po) de haut × 60,3 cm (23,75 po) de profond. Mesure deux fois, perce une fois.
• Troisième panier ajustable. Pour les longues cuillères, les baguettes, les fouets, les gadgets bizarres que t’utilises une fois par année.
• Technologie AutoAir. La porte s’ouvre toute seule à la fin du cycle. Ça sèche mieux, pis ça garde l’intérieur frais.
• Connectivité Wi-Fi intégrée avec l’app Home Connect. Lance le cycle depuis ton lit ou pendant que t’es au Maxi.
• 8 cycles de lavage. De “rince vite-fait” à “attaque nucléaire sur casserole carbonisée”. Y’en a un pour chaque situation.
• Système de séchage sans élément chauffant. Moins de risques de fondre tes plats en plastique cheap.
• Témoins lumineux projetés au sol. Un petit point rouge pour dire : « Je travaille, touche à rien. »
• Finition en acier inoxydable. Beau, mais attention aux doigts gras. Pas partout “anti-traces”, malgré ce que l’étiquette veut te faire croire.
• Panier du milieu réglable de chaque côté. Tu peux baisser à gauche pour une cafetière, monter à droite pour les coupes à vin. Y’a du génie là-dedans.
• Triple système de filtration. Mange pas les restes, mais les élimine propre en ordre.

Tu veux un appareil pas trop cher qui fait la job? Je te recommande le GE GDT225SGLWW

Un lave-vaisselle portable, taille réelle, qui roule comme un chariot d’épicerie. À 24 pouces (61 cm) de largeur, ce modèle GE loge dans les petits espaces mais lave comme un grand. Acier inoxydable à l’intérieur, plastique costaud à l’extérieur. Il ne crie pas luxe, mais il livre la marchandise.

Ce que j’en pense

Ce lave-vaisselle-là, il lave comme un chef, mais il a aussi ses petits caprices. J’ai eu la chance de le tester pendant trois semaines dans ma cuisine de banlieue, et je vais être franc : il m’a impressionné… mais il m’a aussi fait soupirer une ou deux fois.

On parle d’un modèle portable, pleine grandeur : 61 cm (24 po) de largeur, 85,7 cm (33,75 po) de hauteur, et 70,5 cm (27,75 po) de profondeur. Il pèse environ 55 kg (120 lb), donc oublie l’idée de le déplacer avec un doigt dans le nez. Les roulettes sont là, oui, mais pas pour les courses de Formule 1.

La cuve est en acier inoxydable. Solide, résistante, et ça garde la chaleur. À l’intérieur, deux paniers bien organisés, un panier à ustensiles avec séparateurs, et une capacité équivalente à une vaisselle de famille de 4 qui adore les brunchs avec beaucoup de vaisselle. Le cycle complet (auto-sense) peut monter jusqu’à 2 h 40 min. Oui, c’est long. Mais il fait le travail.

Un soir, j’ai voulu tester sa patience. Je lui ai lancé une charge après une raclette familiale : poêlons, plats en vitre, et assiettes bien incrustées. Pas de pré-rinçage. Juste pour voir. J’ai lancé le cycle avec un peu de mauvaise foi. Résultat? Tout est ressorti nickel. Même le plat à gratin. C’est rare.

Mais c’est pas un sans-faute.

Le système de séchage? Condensation uniquement. Pas de ventilateur, pas de chaleur active. Si tu ouvres pas la porte après le cycle, t’as droit à un sauna miniature dans ton assiette. Un petit truc : j’utilise un agent de rinçage avec ce modèle. Les verres sortent plus clairs, et ça sèche mieux.

Il est assez silencieux pour cette gamme de prix. Vraiment. 51 dB. J’ai dû vérifier deux fois s’il était allumé.

Au global, il est pas parfait, mais il est fiable!

Est-ce que le GE GDT225SGLWW est fait pour toi?

✅Achetez si…

• Le bruit vous tape sur les nerfs. À 51 dB, il est plus discret qu’un chat qui marche sur du tapis.
• Vous aimez les appareils qui ne jugent pas. Plat à gratin oublié, bol de gruau fossilisé… il nettoie tout, sans commentaire.
• Votre cuisine est petite mais vos soupers sont ambitieux. Il prend la place d’un comptoir : 61 cm x 85 cm x 70,5 cm (24″ x 33,5″ x 27,75″).
• Vous voulez éviter de faire du yoga pour rincer la vaisselle. Rangement facile, roulettes, boyau double prêt à connecter.

❌N’achetez pas si…

• Vous cherchez un séchage digne d’un sèche-linge industriel. Ici, c’est condensation. Et c’est humide.
• Vous avez beaucoup de bols. Le panier du haut est aussi accueillant qu’un métro à l’heure de pointe.
• Vous détestez les cycles longs. Certains lavages montent à plus de 2 h 30. Faut pas être pressé.

Mon verdict

C’est un lave-vaisselle pour ceux qui veulent la paix, pas les paillettes. Silencieux, robuste, et étonnamment doué pour les plats oubliés. Et il lave. Très bien.

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Caractéristiques principales du GE 24″ GDT225SGLWW

• Dimensions complètes : 61 cm (24″) de large × 85,7 cm (33,75″) de haut × 70,5 cm (27,75″) de profondeur.
• Poids : 55 kg (120 lb). Disons que tu le roules, tu le soulèves pas.
• Niveau sonore : 51 dB. C’est moins qu’une discussion à voix basse dans une bibliothèque.
• Cuve intérieure en acier inoxydable. Résiste aux taches, à la chaleur, et probablement à ton coloc / conjoint qui oublie de rincer les assiettes.
• Capacité de lavage : Format standard. Deux paniers, un à ustensiles, assez pour une vaisselle de famille complète.
• Roulettes intégrées : ça bouge, mais pas toujours dans la direction que tu veux. Attention aux planchers en pente et aux joints de céramique.
• Branchement facile au robinet avec adaptateur inclus. Pas besoin d’un MBA en plomberie.
• Cycles multiples : Normal, intensif, léger, éco, auto-sense, et un mode assainissement pour les germaphobes ou les parents.
• Pas de séchage chauffé : condensation only. Ouvre la porte si tu veux éviter la vaisselle vapeur.
• Panier supérieur non ajustable. Si tu manges dans des bols plus grands que la moyenne, attends-toi à grogner un peu.
• Affichage et commandes sur le dessus de la porte : jolis, mais invisibles une fois le lave-vaisselle fermé.

Une autre possibilité pour les budgets limités : Frigidaire FFCD2413UW

Un lave-vaisselle qui mise sur l’essentiel. Pas de Wi-Fi. Pas d’écran tactile. Juste des boutons qu’il faut parfois marteler pour qu’ils obéissent. Format standard 24 po (61 cm), 60 dB, intérieur plastique, finition blanche bien simple.

Ce que j’en pense

Quand j’ai installé le Frigidaire FFCD2413UW, je ne m’attendais pas à une révolution. C’est un modèle à 60 décibels, blanc, encastrable, avec un panneau de commande à l’avant. Pas de technologie Wi-Fi, pas de capteurs intelligents. On le branche, on appuie, ça lave.

L’installation a pris 40 minutes, chrono. À 33,5 kg (74 lb), j’ai pu le bouger seul avec une sangle. Pas besoin de faire appel à Mario Bros. Une fois fixé, premier test. Les paniers glissent bien. La capacité est correcte pour une famille de quatre. Rien de révolutionnaire, mais l’ergonomie est là.

J’ai lancé un cycle rapide. 60 minutes plus tard : assiettes nickel. Moins vrai pour les chaudrons graisseux. Le FFCD2413UW fait le minimum syndical, mais il le fait bien… tant que vous n’espérez pas faire nettoyer du fromage raclé et séché dans la cuve.

Par contre, l’intérieur 100% plastique, ça pardonne pas avec le temps. Après quelques semaines, j’ai vu apparaître des taches d’humidité stagnante. Sans entretien régulier, c’est la rouille assurée.

Le plus frustrant : les boutons. Il faut appuyer parfois plusieurs fois pour que le cycle s’active. Pas de rétroéclairage, pas de bip sonore. Juste le silence… et l’incertitude.

Mais soyons honnêtes : pour le prix (généralement sous la barre des 500 $), on en a pour son argent. Ce lave-vaisselle s’adresse aux gens qui veulent un appareil simple, fonctionnel, et qui ne pleurent pas si on doit le remplacer dans 5 ans. Rien de plus, rien de moins.

Est-ce que le Frigidaire FFCD2413UW est fait pour toi ?

✅Achète si…

• Tu veux un lave-vaisselle à moins de 500 $ qui lave, point final. Pas de Wi-Fi, pas de voyant lumineux chic, mais il lave.
• Tu vis dans un 4 et demi avec peu d’espace. Il est compact (24 po / 61 cm) et se case comme un vieux grille-pain dans l’armoire.
• Le bruit ne te dérange pas. 60 dB, c’est pas un aspirateur, mais c’est pas une bibliothèque non plus.
• Tu préfères relaver un chaudron à la main que payer 800 $ de plus. Priorités.

❌N’achète pas si…

• Tu veux un cycle qui sèche vraiment. Ici, c’est plus “bain de vapeur” que “séchoir à cheveux”.
• T’as une passion pour les verres fins. Les tiges larges du panier les traitent comme des quilles.
• Tu veux du durable. Tu ne le garderas pas 10 ans.
• Tu cuisines gras. Le cycle normal n’aime pas la sauce à poutine séchée. Il fait ce qu’il peut, mais il pleure un peu.

Mon verdict

Un lave-vaisselle fait pour durer cinq ans, pas plus. Il lave bien les restes de sandwich, pas les plats à gratin oubliés. Solide pour le prix, mais plastique un peu fragile, bruit notable et séchage paresseux. C’est pas un mauvais deal. Faut juste pas lui demander la lune à ce prix.

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Caractéristiques principales du Frigidaire FFCD2413UW

• Largeur de 24 po (61 cm), format standard pour les cuisines d’ici, pas besoin de jouer du banc de scie pour l’encastrer.
• 60 décibels, soit l’équivalent sonore d’un frigo qui jase. Tu ne l’oublieras pas facilement s’il tourne pendant ton émission.
• Trois cycles de lavage : normal, intensif, et rapide d’une heure. Pas de superflu, pas de promesses exotiques non tenues.
• Intérieur 100 % plastique, cuve incluse. Facile à nettoyer mais moins résistant que l’acier inox. Ça vieillit comme un meuble IKEA exposé au soleil.
• Panneau de commande frontal, avec boutons à presser (fort). Si tu veux du tactile, passe ton chemin.
• Capacité standard de 14 couverts, selon les normes nord-américaines. Suffisant pour une famille de 4 qui mange pas juste des toasts.
• Séchage par condensation, pas de ventilateur ni de chaleur active. Traduction : faut ouvrir la porte si tu veux que tes verres arrêtent de transpirer.
• Poids de 33,5 kg (74 lb), assez léger pour être manipulé seul.
• Pas de loquet mécanique : on pousse, ça ferme. Mais attention, faut appuyer comme si t’essayais de convaincre un vieux tiroir de coulisser.
• Filtres et bras d’aspersion non motorisés, tout se fait à l’ancienne. Moins de risques électroniques, mais moins d’efficacité sur le gruau collé.
• Installation standard avec connecteurs ¾ po pour eau et vidange. Pas de gadget, mais ça fait la job sans sortir le manuel trois fois.
• Aucune connectivité intelligente. Pas d’app, pas de Wi-Fi, pas de notifications. Il est né pour laver, pas pour texter.

Notre méthode de test : pas de commandite, juste de la vaisselle sale

On a testé des lave-vaisselle. Des dizaines ces dernières années. Et pas avec deux bols et trois fourchettes. Non. Avec des chaudrons collés, des plats oubliés dans l’évier et des tasses à café qui ont vu trop de micro-ondes.

Merci au Club des Testeurs. Sans eux, j’aurais dû manger debout dans le salon pour éviter de salir quoi que ce soit.

Petits modèles pour condos. Machines familiales qui avalent des montagnes de vaisselle. On a tout mis à l’épreuve.

Notre but? Trouver le lave-vaisselle qui fait vraiment le travail. Pas celui qui fait un bruit de sous-marin pour laver à moitié.

On évalue quoi, exactement ?

La performance de lavage. Est-ce que la lasagne d’hier disparaît… ou change juste de coin dans l’assiette?

La gestion de l’eau et de l’électricité. Est-ce que t’as une vaisselle propre et de quoi payer l’épicerie le mois suivant?

Le bruit. Peut-on regarder une série pendant le cycle… ou faut monter le volume à 40?

La disposition intérieure. Tout rentre-t-il sans jeu de Tetris ou faut-il jongler entre les ustensiles et la tôle à biscuits?

La facilité d’utilisation. Est-ce qu’on comprend quoi faire sans lire un PDF de 64 pages?

L’entretien. Est-ce que le filtre se nettoie en 10 secondes… ou faut démonter l’univers?

Les cycles et fonctions. Éco, express, vapeur, séchage à air, demi-charge, Wi-Fi… on les a tous testés. Et certains, on les a même utilisés deux fois pour voir si c’était pas juste un nom fancy sur un bouton.

Et comment on teste, pour vrai ?

Toujours avec notre Club des Testeurs.

Des vrais foyers. Des vrais repas. Des vrais dégâts.

Des enfants qui laissent leurs couverts dans la chambre. Des parents pressés. Des potlucks trop ambitieux. Des restants de fondue. Et même un bol de céréales resté 48 heures sur le comptoir — oui, celui-là aussi est passé au test.

On remplit à bloc. On enchaîne les cycles.

On oublie la vaisselle dans la machine pour voir si ça pue au matin.

On mesure la propreté. Le séchage. Le bruit. La durée.

On appuie sur tous les boutons. Même ceux qu’on comprend pas.

Et surtout, on regarde si la machine rend le quotidien plus simple… ou juste plus compliqué.

Notre verdict? On fait le tri entre l’utile et le tape-à-l’œil.

On cherche pas la machine la plus techno. On cherche celle qui mérite une prise dans ta cuisine.