S’entraîner chez soi, c’est un luxe, pas vrai? Pas besoin de salle de gym bondée. Depuis la pandémie, beaucoup ont aménagé leur propre gym maison ou dans le garage. On en voit de plus en plus avec le télétravail et la vie de bureau, qui nous cloue souvent à nos chaises. Faut bien compenser, non?
Parmi les appareils cardio, le vélo stationnaire est un des grands favoris. Vous pensez à en acheter un? Plein de questions vous viennent en tête, c’est normal.
Quel type choisir? Vélo vertical, horizontal ou un vélo d’intérieur qui simule la route? Pas facile de s’y retrouver.
La résistance de pédalage, c’est un autre casse-tête. Vous cherchez un entraînement intensif ou quelque chose de plus doux?
Et puis, les options! Programmes personnalisés, suivi de la fréquence cardiaque, calories brûlées. Écran LCD ou tactile, haut-parleurs pour la musique. Vous voyez le tableau.
On est là pour vous éviter de perdre les pédales parmi tous ces choix. L’important, c’est de savoir ce dont vous avez besoin. Perte de poids, gain musculaire, remise en forme, cardio – chaque objectif demande un équipement différent.
Si vous avez déjà une idée de ce que vous voulez, jetez un œil à notre sélection des meilleurs vélos stationnaires. Vous y trouverez sûrement votre bonheur.
Sommaire
En résumé
Voici les critères que nous avons jugés importants pour vous aider à choisir un vélo stationnaire adapté à votre pratique, vos objectifs et votre morphologie :
- Le type de vélo : vertical, horizontal ou d’intérieur
- Le type de résistance : mécanique, magnétique ou électromagnétique
- La roue d’inertie, choisir le bon poids
- L’affichage du tableau de bord : type d’écran et d’infos
- Le type de pédale : plate, à sangles ou clips
- Les options disponibles, les types de programmes et fonctionnalités
- La taille et les ajustements, selle et guidon, poids supporté
10 bonnes raisons d’acheter un vélo stationnaire
Ce n’est pas pour rien qu’on le retrouve dans les appareils de fitness les plus populaires, avec le vélo elliptique et le rameur.
Alors avant de rentrer dans notre guide pour bien choisir son vélo d’exercice, voici un petit rappel, et 10 raisons pour lesquelles c’est une bonne idée de s’en acheter un :
- Renforce la santé cardiovasculaire (cœur et poumons)
- Renforcement musculaire (jambes et abdos)
- Aide à la perte de poids, brûle des calories
- Aide à lutter contre la cellulite
- Pédaler réduit le stress et la dépression
- Pédaler aide à mieux dormir
- Augmente l’espérance de vie
- Facile à utiliser, accessible à tous niveaux
- Moins d’impact sur les articulations que la course à pied
- Prend peu de place à la maison
Bref, un investissement pour votre bien-être et votre santé. Voyons maintenant comment choisir son vélo stationnaire.
Choisir le type de vélo stationnaire
Il faut tout d’abord savoir qu’il existe plusieurs types de vélos stationnaires, principalement trois sortes de modèles.
En choisissant parmi ces trois types de vélos, vous affinerez considérablement votre sélection. Voici un rapide survol de ce qu’on trouve sur le marché actuel.
Le vélo vertical
Le vélo d’exercice vertical, c’est le classique des salles de gym. Une selle standard, une position assise comme sur un vélo traditionnel, de grandes poignées pour se tenir. On peut même se lever pour les montées.
Avantages? Sa position ergonomique est confortable, simule parfaitement un vrai vélo. Facile à utiliser, naturel, idéal pour travailler le bas du corps: jambes, fessiers, mollets. Vous y trouvez votre compte, que vous soyez débutant ou avancé.
Inconvénients? La position verticale n’est pas super polyvalente pour le reste du corps. Elle peut parfois causer des douleurs ou des tensions au niveau du dos. Pas top pour ceux qui ont des soucis lombaires.
Alors, pour qui ce vélo? Pour tous les niveaux. Si vous aimez la sensation du vélo traditionnel, c’est parfait. Simple à utiliser, excellent pour ceux qui veulent renforcer cuisses, mollets et fessiers. Mais si vous avez des douleurs au dos, mieux vaut peut-être chercher une autre option.
Bref, si vous cherchez à reproduire le pédalage classique et travailler votre bas du corps, le vélo vertical est un excellent choix. Juste, gardez un œil sur votre dos!
Le vélo horizontal ou position allongée
Le vélo dit « horizontal », c’est un autre niveau de confort. Vous pédalez en position semi-allongée, bien installé.
Le siège est large, avec un dossier pour soutenir le bas et le milieu du dos. Les pédales sont plus éloignées que sur un vélo vertical.
Avantages? Moins de pression sur les articulations et le dos grâce à cette position confortable. Parfait pour tout le monde, y compris les personnes âgées ou celles avec des problèmes de santé. En plus, il sollicite aussi le haut du corps avec ses poignées, offrant un entraînement complet.
Inconvénients? La position de pédalage est différente de celle d’un vélo traditionnel, ça peut prendre un moment pour s’habituer. Ce type de vélo prend aussi plus de place, ce qui peut être un souci pour les petits espaces.
Alors, pour qui? Pour tous les niveaux et conditions physiques. Idéal pour ceux souffrant de douleurs lombaires ou articulaires, ou en réhabilitation après un accident ou une longue inactivité. C’est une pratique douce et moins intense que le vélo vertical, parfaite pour se remettre en forme sans se brusquer.
Si vous cherchez un entraînement confortable et complet, le vélo horizontal est votre meilleur allié.
Le vélo d’intérieur
On parle ici d’un vélo qui recrée l’expérience du vélo de course. Il ressemble littéralement à un vrai vélo, mais stationnaire. Une selle, un guidon plus bas et avancé que sur les vélos verticaux, et un système de pédales avec une courroie ou une chaîne, comme un vrai vélo.
On l’appelle parfois vélo de spinning. C’est comme un vrai vélo, mais il ne bouge pas !
Avantages? Ce modèle permet d’augmenter l’intensité des entraînements, parfait pour un cardio intense. On peut varier les exercices et cibler plus de muscles qu’avec un vélo vertical, en jouant avec la résistance et les positions. C’est le plus proche d’un vélo traditionnel, surtout avec les modèles haut de gamme connectés qui simulent de vrais parcours.
Inconvénients? La position courbée en avant peut être inconfortable pour certains, surtout ceux avec des problèmes de dos ou de cervicales. L’intensité élevée demande une bonne condition physique, ce qui peut être difficile pour les débutants ou ceux en réhabilitation.
Alors, pour qui? Pour les passionnés de cyclisme, ceux avec de l’expérience, cherchant des entraînements intensifs, que ce soit pour la perte de poids, le cardio ou la musculation. Moins recommandé pour les débutants, ceux avec des conditions physiques particulières, ou des faiblesses musculaires ou cardiovasculaires.
Si vous cherchez à reproduire la sensation d’un vrai vélo et à pousser vos limites, le vélo d’intérieur est fait pour vous.
Choisir le type de résistance
Ce qui fait tout l’entraînement sur un vélo stationnaire, c’est la résistance. C’est ce qui vous fait pédaler plus ou moins fort selon le niveau choisi.
Pour créer cette résistance, il y a trois systèmes différents: électromagnétique, magnétique et mécanique.
Chaque type de résistance offre des sensations différentes en pédalant. L’effet varie en fonction de la roue d’inertie et la manière dont le pédalier réagit à vos coups de pédale.
Selon les modèles, vous pouvez trouver entre 8 et 25 niveaux. Plus il y a de niveaux, plus vous pouvez varier et ajuster vos entraînements. Un critère personnel selon votre pratique.
La résistance électromagnétique est très appréciée pour sa sensation fluide, proche de la force de pédalage réelle. Le classique mécanique reste populaire pour sa simplicité et sa ressemblance avec le vélo traditionnel.
Si vous cherchez une sensation plus coulée et réaliste, optez pour l’électromagnétique. Pour quelque chose de simple et familier, le mécanique est un bon choix. Peu importe votre choix, assurez-vous qu’il correspond à vos besoins et objectifs d’entraînement.
Résistance mécanique
La résistance est créée par des tampons de freins contre la roue d’inerte, réglable avec un simple bouton.
Du côté des sensations, les vélos stationnaires utilisant la résistance mécanique se rapprochent du vélo traditionnel, même si en comparaison à l’électromagnétique, il n’y a pas autant de fluidité, il y a un côté un peu plus rough, mais c’est aussi ce qui peut faire partie de l’entraînement intensif !
Sur ces vélos stationnaires, le réglage de la résistance se fait à la main, et il y a donc plus de contrôle pour ajuster soi-même la force.
Résistance magnétique
La résistance magnétique est créée par des aimants situés de part et d’autre de la roue d’inertie. Plus les aimants sont proches de la roue, plus ils la retiennent, et la résistance est forte, et inversement, plus les aimants s’éloignent, plus la résistance baisse.
La résistance dépend alors de la force que vous mettez dans le coup de pédale, et s’ajuste en fonction, ce qui crée cette sensation très fluide, plus douce dans les transitions de vitesse par exemple, et pour les accélérations ou décélérations.
C’est un système très répandu, qui fonctionne avec des aimants, ne fait pas beaucoup de bruit, et peut être facilement ajusté.
Il n’y a aucun objet qui touche la roue d’inertie, ce qui en fait aussi le plus silencieux et le plus simple à entretenir.
Résistance électromagnétique
C’est comme la résistance magnétique, mais avec un petit moteur électrique et un microprocesseur reliés au tableau de bord.
Cela va permettre encore plus de précision, notamment dans la sensation et la réactivité à vos coups de pédale, mais surtout du côté du monitoring, du calcul et suivi des données reliées à votre activité pendant les séances d’entrainement.
La différence sera aussi dans les niveaux de résistance possibles, avec plus de nuances et précision, et donc plus de programmes d’entraînement.
C’est donc le haut de gamme des vélos stationnaires, même si le magnétique simple reste de la très bonne qualité.
La question du bruit : un vélo stationnaire, ça peut faire du bruit quand on pédale, et lorsqu’on est en appartement, qu’on ne veut pas déranger ses voisins, ou tout simplement ne pas déranger son conjoint ou sa conjointe, c’est un paramètre à considérer. C’est ici que la résistance magnétique ou électromagnétique gagne encore des points, puisque c’est le système le plus silencieux, comme rien ne touche la roue d’inertie, alors qu’une résistance mécanique sera bruyante.
Trois systèmes de résistances, trois sensations et performances différentes, et aussi des prix différents, puisque l’électromagnétique sera généralement plus cher que le mécanique, dépendamment du modèle de vélo stationnaire.
Mais il ne faut pas oublier un deuxième élément, clef dans la résistance et la force de pédalage : la roue d’inertie.
Choisir la roue d’inertie : quel poids ?
Parfois appelée « volant d’inertie », la roue d’inertie est ce qui entraîne les pédales de votre vélo stationnaire.
C’est un composant clé du système de pédalage. Quand on choisit son vélo stationnaire, on veut connaître son poids.
En gros, plus la roue d’inertie est lourde, plus le mouvement est fluide. Les transitions entre les vitesses et phases d’entraînement sont facilitées.
Une roue plus lourde améliore aussi la performance, surtout quand on commence à accélérer.
Alors, comment choisir en fonction du poids? En règle générale, on recommande un minimum de 15 kg / 35 lb pour une sensation et une performance de qualité.
En dessous de ce poids, l’entraînement pourrait être moins agréable. Pour une performance supérieure, on vise les 18 kg / 40 lb.
Les vélos stationnaires haut de gamme atteignent même des roues de 50 lb.
Attention, cette information n’est pas toujours indiquée par les fabricants. Il faut parfois creuser pour vérifier le poids du modèle qui vous intéresse.
Choisir le type d’affichage et de tableau de bord
Un aspect crucial de votre vélo stationnaire, c’est le tableau de bord, ou l’ordinateur de bord. Selon votre pratique, ce détail peut faire toute la différence, car c’est là que vous allez passer beaucoup de temps à vérifier vos données en temps réel.
Choisir le style d’affichage et d’écran
Tout d’abord, parlons du style d’affichage. Certains vélos restent minimalistes avec des écrans analogiques simples, petits, et à trois couleurs. Pour certains, c’est suffisant, mais d’autres préfèrent un écran plus grand, LCD, avec plus de couleurs.
Aujourd’hui, certains modèles offrent de véritables écrans d’ordinateurs en haute définition. Vous pouvez suivre des cours en direct avec un entraîneur, connecté au Wifi, ou faire défiler des décors pour voyager virtuellement!
Que vous soyez minimaliste ou friand de technologie, il y a une option pour vous.
Choisir le type d’informations
Ensuite, regardons les informations affichées sur l’écran. De base, vous aurez la vitesse, le temps, la distance parcourue et les calories brûlées. Mais il y a plus.
Grâce aux capteurs sur les poignées, certains vélos affichent votre fréquence cardiaque. Plus les données sont précises, mieux l’ordinateur de bord pourra analyser vos performances et vous suggérer des programmes d’entraînement personnalisés.
Choisir les options et programmes de votre vélo
Le choix est vaste. Certains vélos sont très simples, avec quelques programmes de base, différents niveaux de difficulté, des parcours avec kilométrage et dénivelé prédéfinis, des parcours libres, etc.
On trouve souvent des programmes intégrés par objectifs: perte de poids, travail des cuisses et fessiers, entraînement haute intensité. L’évolution des technologies visuelles permet aujourd’hui de véritables simulations de cyclisme. Imaginez-vous pédaler dans les rues de San Diego, les Alpes italiennes ou quelque part en Chine, avec l’affichage des décors et les sensations correspondantes en temps réel!
À l’heure du numérique, les vélos stationnaires connectés sont de plus en plus courants. Ils se connectent au Wifi, vous permettant de suivre des cours en ligne en direct avec des entraîneurs. Une excellente motivation! Vous pouvez suivre des programmes d’entraînement personnalisés, télécharger des mises à jour, et synchroniser vos données avec votre tablette ou téléphone.
C’est une question de préférence personnelle. Vous préférez la simplicité? Vous pouvez monitorer votre entraînement avec les informations de base. Vous aimez les gadgets? Optez pour le haut de gamme ultra-connecté avec écran couleur HD.
Un détail souvent négligé mais crucial: la forme et le type de pédale. Vous avez acheté un superbe vélo d’appartement, bien équipé, connecté, performant. Mais surprise! Les pédales ne vous conviennent pas. Si vous préférez les pédales plates et vous retrouvez avec des cale-pieds, ça peut gâcher l’expérience.
Voyons les quatre types de pédales à considérer.
Pédale plate: La classique. C’est celle avec laquelle on a tous appris à faire du vélo. Facile à utiliser avec presque n’importe quelle chaussure. Cherchez une texture antidérapante pour une bonne accroche, afin de pouvoir pédaler intensément sans glisser.
Pédale cale-pied: Une pédale avec un cadre en acier ou en nylon qui entoure le bout de la chaussure. Elle permet d’utiliser la partie ascendante du pédalage pour des performances accrues. Les cale-pieds de qualité ont une sangle ajustable pour une prise optimale.
Pédale clip ou automatique: Utilisée avec des chaussures de cyclisme qui se clippent à la pédale. Cela permet une connexion pieds-pédales pour plus de sensations et de performance. Parfait pour les mordus de cyclisme qui recherchent une expérience proche du vélo de route. Mais sans les chaussures adaptées, ces pédales peuvent être inconfortables.
Pédale hybride: Vous hésitez? Certains vélos offrent des pédales hybrides, un côté avec sangle (cale-pied), l’autre avec clip pour les chaussures de cyclisme, ou bien un côté plat. Polyvalente, cette option est pratique pour varier les plaisirs ou pour plusieurs utilisateurs.
Choisir la taille et les ajustements du vélo
Last but not least, il faut mentionner que le choix de la taille est primordial. Plus précisément, on parle ici de vérifier que le vélo sera ajustable à votre taille.
Car pour assurer une bonne pratique et un entrainement sans risques, le confort est la priorité : être bien assis avec la jambe tendue, le pied à plat sur la pédale, et ne pas avoir la jambe un peu pliée ou au contraire, toucher la pédale avec la pointe du pied, alors qu’on est au réglage maximal…
Ce que vous devez vérifier, c’est notamment le réglage de la hauteur de la selle et de guidon. Particulièrement si vous êtes un peu petit(e) ou très grand(e), pensez à vérifier la mesure indiquée.
Voici les principaux réglages à considérer :
Ajustement de la hauteur de la selle
Si vous achetez en magasin, vous pouvez directement vérifier en essayant le vélo, en vous assurant de pouvoir ajuster la selle de manière à être confortable en faisant un tour de pédale, et que votre pied touche bien la pédale lorsque vous êtes au plus bas avec la jambe tendue, sans être trop tendue.
Si vous achetez en ligne, certaines marques indiquent la mesure de hauteur de selle, donc la longueur de la jambe, alors que d’autres indiqueront la taille de la personne : considérant que nous n’avons pas tous les mêmes proportions, nous vous conseillons de vérifier avec la mesure de la jambe pour la hauteur de selle.
Ajustement du guidon
Si vous baissez ou montez la selle, il faut vous assurer de pouvoir rester confortable sur le guidon. Le réglage idéal sur les vélos d’intérieurs ou verticaux est la même hauteur que la selle, mais certaines personnes avec des problèmes de dos ou cervicales, ou certaines conditions physiques, voudront avoir la possibilité de relever le guidon pour une position plus relevée et plus confortable.
Si vous avez les bras courts ou longs, il est important de choisir un vélo sur lequel le guidon est aussi ajustable horizontalement, pour être sûr d’être confortable au niveau du buste et des bras lors de la pratique.
Ajustement horizontal de la selle
Cet ajustement est particulièrement important pour les vélos stationnaires horizontaux, où la position assise / allongée demande un bon ajustement par rapport aux jambes.
Sur un vélo semi-allongé, la jambe tendue dans le cycle de pédalage doit former un petit angle, de 5 à 10 degrés selon votre confort, ce qui est un réglage différent des vélos verticaux ou d’intérieur, où la jambe sera pratiquement tendue au maximum.
Poids maximal supporté par le vélo : il est aussi important de vérifier le poids maximum supporté par le vélo, car certains modèles ne pourront pas accueillir des personnes de plus 100 kg / 220 lb.
Les dimensions et le poids du vélo
Enfin, si vous achetez un vélo d’appartement, il faut justement qu’il puisse rentrer dans votre appartement, votre maison ou garage.
On trouve des tailles diverses, certains modèles plus compacts, parfois pliables pour être rangés et prendre moins de place.
Les modèles horizontaux sont plus longs et prennent plus de place que les verticaux, il faut donc vérifier les dimensions par rapport à l’emplacement que vous avez prévu à la maison.
Distance de sécurité : il ne s’agit pas d’arriver à rentrer le vélo stationnaire dans un coin du salon. Comme pour la plupart des appareils de fitness, que ce soit un vélo elliptique, un tapis roulant ou un rameur, il est recommandé d’avoir une distance de sécurité autour de l’appareil, en cas de chute par exemple, pour éviter tout accident, comme une rencontre désagréable avec le coin du meuble TV…
Le poids du vélo stationnaire est également à prendre en compte si vous devez fréquemment le déplacer, par exemple pour le serrer lorsque vous ne l’utilisez pas.
La plupart des vélos lourds sont munis de roulettes pour pouvoir être incliné et déplacé plus facilement, mais certains modèles n’en ont pas, et parfois, devoir déplacer un appareil de 100 lb / 45 kg après un entraînement de cardio, ce n’est pas des plus agréable…